jeudi 4 décembre 2008

CQFD

Un peu crue ma manière de balancer un article comme ça après 10 mois de silence. Mais j'ai passé la phase "il faut que ça sorte, que je crie à tout le monde que vivre en caserne, c'est l'enfer." L'enfer, ce sont pas les femmes, ni ce terme de "mon homme" qui me hérisse toujours autant.
L'enfer, c'est cette chose sournoise que tu découvres peu à peu, les ficelles de la caserne, ce que certains sont au fond, loin sous l'uniforme, ce qui se passe, loin, au dessus de notre toit gris et qui pourtant conditionne toute notre vie. Sous le blouson bleu, les rangers et les képis, c'est pas toujours joli. 

J'aurais pu recommencer un nouveau blog. Mais je suis toujours une femme-cabillaud, plongée dans un enfer. Ce nouvel enfer est juste plus vaste, plus insaisissable que celui des cafés et des commérages.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

she's alive..she's back!! j'y croyais plus. hop la femme cabillaud dans mon netvibes (oui je te glisse au passage que ça y est, i did it)
et la suite s'annonce des plus intéressantes (fait froid dans le dos la note précédente).

je te lis donc, et bientôt je t'écris...